La brusquerie du meurtre

Avalone et son père avait une complicitée folle.
Ils s'entendaient bien et aimaient passer du temps l'un avec l'autre. Sa mère était pareil mais elle était beaucoup moins libre que lui, alors ils se retrouvaient souvent suels et ça les amusaienT

Aujourd'hui, elle avait sa belle robe bleu clair, et ses petites balerines, elle était à côtés de lui et ils parlaient de tout, de la pluie et du beau temps, des relations garçons- filles, ils n'avaiuent aucun tabou l'un pour l'autre.
Et elle aimait bien lui dire quand elle était triste ou quand elle se sentait joyeuse, et ce jour là elle était heureuse

Puis après s'être baladés pendant quelques heures, son père regarda derrière lui et un homme en costume les regardait, Avalone sourit à l'homme puis le regarda de plus près.
Il y avait quelque chose de louche chez cet homme, mais elle n'arrivait pas à savoir quoi.
Puis son père la fit reculer, elle le regarda et lui obéit.

-Bonjour monsieur, que puis je pour vous?

Avalone fut la temoin impuissante de la scène.
Les yeux de l'homme devinrent noirs, et il s'attaqua à son père avec une sauvagerie incroyable, comme elle avait envie de hurler!
Mais quand elle s'élança pour sauver son père, l'homme le jeta à Terre et courut.
Avalone le recupera et tomba avec lui

-Papa!!!

Elle lui posa la tête sur ses cuisses et lui caressa le joue.
Elle le regarda et quand il leva les yeux vers elle, malgrès ses larmes elle lui sourit
Puis quand l'homme s'approcha d'eux elle regarda ses yeux, mais ils n'étaient pas noirs.

-Ca va aller papa, tu as connu pire, non?

Il la regarda et esquissa ce qui devait être un sourire.
Elle lui caressa les cheveux en regardant l'homme

-Merci

Elle le regarda et ferma les yeux.
Elle serra la main de son père dans la sienne.

-D'accord

Avalone sentit son père se raidir sous elle.
Elle fit une petite pression sur ses doigts et il se relaxa

-Ca va aller papa

Elle garda les yeux fermes
Malgrès l'envie de le regarder.
Elle lui caressa le dos de la main.

Elle se mit juste à côtés de son père et lui reprit la main.
Elle lui enleva les quelques boucles qui collaient à son front.
Et lui embrassa le front.

-Ta...mère va pas ...être contente

Elle le regarda et rigola d'un rire tendus

-ON ne lui dira rien

Elle le regarda et pencha la tête

-Devant qui?
L'homme de tout à l'heure?
L'avocat en costume?

Elle regarda la porte fermée puis avança vers l'homme

-Merci,
Personne n'avait l'air très chaud pour nous aider

Elle le regarda et s'assit.

-Comment on peut ne pas être humain?
C'est pas possible....

Elle le regarda et parut choquée

-Pas vrais?

Elle se sentit tout à coup très mal à l'aise.
Elle le regarda et se tourna les pouces montrant son mal aise

-Jaune

Puis elle regarda la porte imaginant son père allongé sur la table

-Je ne sais pas....

Elle le regarda horrifiée de ce qu'il venait de dire.
Elle tomba à genoux et se mit à pleurer à chaud de larmes.
Elle cacha son visage entre ses mains

-Je peux pas...
Pas mon papa!

Elle se mit à quatre pattes et colla son front à la porte.
Elle sanglotta encore quelques instants puis se tut se laissant aller contre la porte.

Elle se leva et le gifla.

-C'est de mon père dont tu parles comme çà!

Elle sortit dehors et s'assit sur un par terre d'herbes
Elle regarda le ciel, en pleurant

Elle rentra sans lui lancer le moindre regard
Elle ouvrit la porte sans reflechir et descendit les escaliers
Elle lui prit la main et lui caressa le joue.

-Tu sais que maintenant je vais être toute seule?

Elle l'embrassa et avant de fondre en larmes elle rassembla son courage
Elle l'embrassa.

-Je t'aime papa....